La rarissime oeoniella polystachys, en forêt semi-sêche

L'année derniere je l'ai cherchée sans succès sur divers sites du massif de La montagne.


Cette année, deuxième sortie à sa recherche,et oh miracle, je "tombe" dessus avec plusieurs specimens en fleurs dans un court rayon.

ET sur place un délicieux parfum indescriptible une fois le nez posé dessus.


Des fleurs larges de 3 cm max, un petit éperon de 3mm, dans un environnement difficile., qui renforce la beauté de cette orchidée.



















A suivre

Bravos et vivement dimanche prochain pour que tu nous la présente en vrai! @+

splendide!!!

Une petite merveille. Merci Charly !
Je lis dans l' ouvrage de Patrice Bernet que la floraison a lieu en septembre et octobre et que les fleurs tiennent plus d' un mois, j' ai bien peur qu' à notre arrivée le 26 octobre tout soit défleuri mais si tu me donnes quelques indications pour la touver, nous irons tout de même y faire un tour et qui sait !!!

Bonne journée Charly.

Combien de temps à chercher Charly?
Les photos sont pas mal en plus, le petit flou en fond qui fait bien. Félicitations!!

orchid974 a écrit:Combien de temps à chercher Charly?
Les photos sont pas mal en plus, le petit flou en fond qui fait bien. Félicitations!!

L'année derniere 4 sorties sur les hauts du Colorado, mais suis rentré bredouille à chaque fois(plus de 3h de recherche par sortie, arbre par arbre !!!)

Cette année 2 sorties en août au chemin des anglais sans rien voir

Et pour la trouvaille, c'est à la 2eme sortie dans le même secteur et au bout de 2 h de recherche!!!


Quand on tombe dessus, c'est une vrai joie tu peux me croire. Mais je pense qu'il y d'autres secteurs à explorer. Celles que j'ai découvertes se trouvent sur un olivier pays et sur un mahot. Or d'après d'es experts, on la rencontre plutôt sur des bois de Nefles un peu en sous bois.

Les "miennes" sont très exposées au soleil, d'où leur aspect plus ramassé et "coriace", par rapport à celles fleurissant en sous bois d'après des photos qui paraissent plus souples sur la hampe florale et plus développées.


Ci-après sur un Mahot rempart - Hibiscus columnaris. ( feuille reconnaissable en premier plan)





Et une photo vue de dos pour voir l'éperon. On distingue le fruit en formation également




A suivre

charly 97-IV a écrit:

Quand on tombe dessus, c'est une vrai joie tu peux me croire.

Comme je te comprends. Je me souviens de mes premières "araneola", ciliata".. etc... c'est du bonheur.

En tout cas c'est un vrai plaisir de chercher encore et encore

Il faut savoir grimper aux arbres !

Belle découverte

Belle note d'exotisme!
On a l'image, mais pas l'odeur, c'est bien dommage.



Olivier