Code de conduite de l'orchidophile
Ven 9 Juin 2006 - 7:26
"Code de conduite de l'orchidophile"
(extrait de l'Orchidophile N°148, Oct 2001)
CONSIGNE DE PROTECTION ET CODE DÉONTOLOGIQUE
Respectons et encourageons la pratique des quelques règles suivantes.
1) La priorité est donnée à la protection des stations rencontrées. II est de rigueur, dans le milieu orchidophile, de respecter la règle suivante: toute forme de cueillette est à proscrire. Prélèvement d'individus entiers ou de fleurs d'individus (pour herbiers ou correspondance) : ces pratiques sont depuis longtemps abandonnées par les botanistes passionnés par les Orchidées, sauf dans de rares cas (études populationnelles, espèces nouvelles ou litigieuses...).
L'observation des racines est également à proscrire parce qu'elle endommage le mycélium des plantes et les condamne à mourir.
Les transplantations sont bien entendu hors de propos.
2) La pratique de la photographie est particulièrement recommandée, car des photographies facilitent les déterminations et constituent un document de référence pour l'étude des Orchidées. Cependant, il faut veiller à ne pas détériorer le milieu par application de certaines techniques de macrophotographie particulièrement destructrices : couchage des plantes, modification du terrain, dégradation du biotope...
3) Il va sans dire que les recherches intensives d 'Orchidées rares dans un milieu fragilisent celui-ci : il faut limiter au maximum le piétinement des stations.
4) La localisation des espèces rares ou fragiles appelle à la prudence dans la divulgation des données.
(extrait de l'Orchidophile N°148, Oct 2001)
CONSIGNE DE PROTECTION ET CODE DÉONTOLOGIQUE
Respectons et encourageons la pratique des quelques règles suivantes.
1) La priorité est donnée à la protection des stations rencontrées. II est de rigueur, dans le milieu orchidophile, de respecter la règle suivante: toute forme de cueillette est à proscrire. Prélèvement d'individus entiers ou de fleurs d'individus (pour herbiers ou correspondance) : ces pratiques sont depuis longtemps abandonnées par les botanistes passionnés par les Orchidées, sauf dans de rares cas (études populationnelles, espèces nouvelles ou litigieuses...).
L'observation des racines est également à proscrire parce qu'elle endommage le mycélium des plantes et les condamne à mourir.
Les transplantations sont bien entendu hors de propos.
2) La pratique de la photographie est particulièrement recommandée, car des photographies facilitent les déterminations et constituent un document de référence pour l'étude des Orchidées. Cependant, il faut veiller à ne pas détériorer le milieu par application de certaines techniques de macrophotographie particulièrement destructrices : couchage des plantes, modification du terrain, dégradation du biotope...
3) Il va sans dire que les recherches intensives d 'Orchidées rares dans un milieu fragilisent celui-ci : il faut limiter au maximum le piétinement des stations.
4) La localisation des espèces rares ou fragiles appelle à la prudence dans la divulgation des données.
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